| Héraults du Ragnarock La Croisade Ecarlate |
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| l'aventure du cyclope borgne | |
| | Auteur | Message |
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Raph
Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 28/07/2007
| Sujet: l'aventure du cyclope borgne Dim 28 Déc - 4:47 | |
| Vous avez déjà du en entendre parler : voici l'une des aventures les plus… étonnantes vécue par Ënøla Beringar et ses compagnons. L'AVENTURE DE L'OGRE CYCLOPE BORGNE. (En réalité un extrait des mémoires écrites par Ënøla elle-même)
"Si je me souviens bien, c'était deux ans après la fin de la guerre de l'or. J'avais laissé mes terres de l'eibe aux soins avisés de guillaume, le remplaçant d'Earen, et de mon intendant Adelard. Je m'étais rendu a la capitale pour une affaire qui n'avait rien a voir avec cette histoire, et donc sans intérêt (enfin, suffisamment pour moi en tout cas pour m'obliger a faire la route jusqu'à selerte). Cela faisait trois jours que j'étais au château royal, dans le bastion annexe réservé aux chevaliers Arniens, quand notre général en chef, Redelger, vint me donner une mission. Je devait me rendre en Val-en-Roche, une région situé a l'ouest de l'eibe, et pas très loin de la frontière ; une petite région vallonné assez peu accueillante, et dont le prévôt était – semble-t-il, un incapable. C'était en tout cas mon avis, car jamais un chevalier arnien du se déplacer pour devoir occire un monstre dans ma région. C'était le but de ma mission, car au sein de ces vertes vallées s'était installé un être dangereux, qui terrorisait les villageois et les paysans.
En bref, je m'en serais bien passé. Je connais bien les paysans, ce sont des braves gens (d'une manière assez générale, s'entend) qui travaille dur, mais qui tremble de peur pour parfois pas grand-chose. Je m'attendais donc à un long déplacement jusqu'à val-en-roche pour trucider une créature dont on ne m'avait pas précisé la nature, mais qui pouvait aussi bien être un loup enragé, ou un ours des forets, ce n'était pas la première fois, malheureusement.
Je dois avouer que même encore aujourd'hui j'ai du mal à réaliser à quel point je me trompais, et à quel point ce fut encore plus pathétique.
Je quittais la capitale, seule, jetant toutes les malédictions possibles et inimaginables a redelger, et fit un détour par l'eibe pour prendre quelques uns de mes soldats avec moi. Juste au cas où. C'était plus pour rassurer les Valenrochois qu'autre chose. De toute façon, je comptais rendre une visite au prévôt affilié a cette région histoire de lui botter son fondement a coup de soleret, histoire de lui apprendre a sécuriser sa campagne et a protéger ses sujets. Chose que je ferais une fois la mission accomplie.
Nous entrâmes donc en val-de-roche quelques jours après avoir quitté l'eibe, puis nous arrivâmes avant le coucher de la nuit au village qui, d'après redelger, subissait le joug de l'infâme créature. Le soleil n'était pas encore couché que le village était désert, les volets clos. Soit les habitants avaient déserté les lieux, soit ils étaient tous terrés en tremblant de peur. Finalement, quand nous arrivâmes à la petite place du village, un vieil homme nous y attendait. Il tremblait, mais difficile de dire si c'était a cause de la peur, de sa vieillesse, ou du fait que sa robe était plutôt mal reprisé de partout, offrant ainsi de nombreuses ouverture a la brise bien fraîche et vivifiante qui soufflait sur la place. Je mit pied a terre, il s'approcha et se présenta. Il était le doyen du village et nous attendait avec impatience. Il nous mena jusqu'à sa maison, la plus grande – ou plutôt la moins petite – de tout le village, et une fois au chaud devant une cheminé, reprit quelques couleurs et me donna quelques explications. - vous a-t-on précisé quelle était la nature du monstre qui nous terrorise ? Me demanda-t-il. - ça ne m'a pas été expliqué. - il s'agit d'un ogre.
Autant pour l'ours et le loup. Encore que, il était possible qu'il ne s'agisse d'une exagération. Car les ogres étaient de plus en plus rares sur notre continent, et plus encore en arnie. Les mélanges fréquents entre les ogres et les morgs, qui avaient donné naissance a la race bâtarde des ogrocks, avait amené petit a petit a l'extinction de ces grosses créatures – sans compter la chasse effréné menés par les soldats et aventuriers de tout poils, heureux d'ajouter une tête d'ogre a leurs trophées. Ce qui était rare tout de même, étant plus fréquent que ce soit l'ogre qui agrémente sa pitance desdits soldats et aventuriers. Le dernier ogre signalé en arnie avait fait beaucoup de victimes. Une petite armée se lança a ses trousses, l'amenant a quitter sa tanière ; il tenta d'en trouver une autre, mais eu la mauvaise idée de tomber sur la grotte d'un golem de pierre qui y avait élu domicile. Il trouva, en cette circonstance, plus fort que lui.
- un ogre, vous êtes sur ? - certains. Je l'ai déjà vu de mes propres yeux. Une créature colossale. Cela fait deux ans qu'il s'est installé dans notre région, mais d'habitude il se contentait de tuer quelques vaches, des moutons, parfois quelques voyageurs égarés… mais depuis quelques temps, il se rapproche du village, et il a déjà tué bon nombre de malheureux. Parce que les voyageurs n'étaient pas malheureux, ils devaient tous bien rigoler dans l'estomac de l'ogre. - son appétit est de plus en plus vorace, et ils nous tuent tout notre bétail. Nous allons avoir du mal à nous nourrir au prochain hiver. - et le prévôt, que fait-il dans l'histoire ? Vous l'avez informé, non ? - bien sur, nous l'avons fait à maintes reprises, mais il ne nous a pas cru au départ. Puis il a envoyé une troupe pour le tuer, las de nos plaintes, mais ces hommes n'ont pas réussi leurs missions. - tous morts ? - pas exactement. Un seul a survécu. - et bien ? Combien était-il ? - quatre. - quatre ?! Pour un ogre ?! Pas étonnant que ça ai mal fini. - eh bien… il faut avouer que ce n'est pas exactement l'ogre qui a eu raison d'eux. - c'est-à-dire ? - le premier est mort en cours de route. Il a, parait-il, voulu examiner le fer de son cheval qui boitait. L'animal l'a tué d'une ruade. Puis quand ils sont arrivés au village, les 3 autres ont commencé à boire, sûrement pour se donner de la force et du courage pour affronter le monstre, mais aussi pour saluer leurs compagnons disparus. - sûrement. - malheureusement, ils ont eu tendance à se donner trop de force, si vous voyez ce que je veux dire… - c'est limpide. - y en a un qui est tombé dans le puit en voulant voir s'il y avait des pièces au fond. Il s'y est noyé. Et un troisième a été tué par son comparse ivre mort qui avait décidé, pour une raison inconnue, de prendre son arbalète. Se retrouvant seul, il a décidé de retourner auprès du prévôt pour lui raconter, d’après ce que j'ai appris plus tard, qu'ils avaient trouvé l'ogre mais qu'il avait tué ses compagnons. A la suite de quoi il fit appel a vous. Ce n'était pas des coups de pied qu'ils allaient prendre. Sur le moment, j'eu la cruelle idée de soumettre au roi darkoan la perspective de laisser cette région être annexé par les morgs. - mais vous disiez que le prévôt ne vous avait pas cru au départ… pourquoi donc ? Le doyen parut gêné. Il mit du temps à répondre. - eh bien, c'est parce qu'il s'agit d'un ogre spécial. - c'est-à-dire ? - c'est un ogre cyclopéen. - eh bien ? En quoi est-ce si incroyable ? C'est rare certes mais pas impossible. C'est même un avantage, il suffit de lui planter une flèche dans l'œil et… - justement, c'est là le problème. Il n'y a pas besoin de flèche. Il hésita encore, prit une profonde inspiration avant de me dévoiler : - c'est un cyclope borgne. J'eus un long moment d'intense stupéfaction. A cela succéda une envie furieuse de frapper cet homme. Néanmoins, c'était un vieil homme, et je ne pouvais me laisser aller à une telle extrémité. Je répondis alors avec tout le tact dont j'étais capable en telle circonstance. - vous vous foutez de moi ? - Non, non, loin de moi cette idée, madame ! Je vous assure ! Ceux qui l'ont aperçue sont formels, il a un bandeau sur son unique œil. - mais il est aveugle alors ! Comment diable un ogre aveugle peut-il faire le moindre mal ? - il aurait, semble-t-il, un odorat fort developpé pour un ogre, ce qui lui permet de se déplacer… avec plus ou moins de facilité. - plus ou moins ? Là naquit en moi la certitude que j'étais tomber dans un village de fous. J'étais d'ailleurs prête à ordonner à mes hommes de repartir sur le champ, j'allais me lever quand un cri bestial, retentissant, perça le silence de la nuit. Je reconnaissais le cri d'un ogre. Borgne ou pas, il y avait bel et bien l'une de ses créatures dans les environs. Le vieil homme se raidit, tremblant de peur : - c'est lui ! Il va sûrement bientôt nous attaquer a nouveau ! Il ne crie ainsi que lorsqu'il a faim ! - …ou alors il s'est cogné le gros orteil contre une pierre…" | |
| | | Raph
Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 28/07/2007
| Sujet: Re: l'aventure du cyclope borgne Dim 28 Déc - 4:49 | |
| "Nous passâmes la nuit dans le village. Le lendemain, j'étais réveillée à l'aube, comme à mon habitude, et je fis réveiller mes hommes pour qu'ils se préparent. Le village était toujours désert, je vis a peine quelques femmes ouvrir la porte de leurs maisons, jeter des regards inquiet a l'extérieur, avant de sortir en courant, tenant leurs robes pour éviter de se prendre les pieds dedans, un seau en main, jusqu'au puit pour y prendre de l'eau en vitesse et repartir aussi vite, renversant toutefois la moitié de leurs récipient au retour. Elles ne se préoccupèrent même pas de nous alors que nous nous regroupions sur la place. Le doyen voulu venir avec nous. Il nous mena dans la forêt voisine, là où l'ogre avait été vu le plus fréquemment. J'avais amené l'un de mes meilleurs pisteurs, et lorsque nous fûmes sur les lieux de la dernière attaque en date, il trouva vite des traces fraîches de son passage. Il était revenu assez récemment dans les parages, sûrement à la recherche de son dîner… La piste était peut-être assez évidente, mais son parcours était affreusement chaotique. On arrêtait pas de bifurquer, de tourner, parfois en rond, si bien que même nous, avions du mal, a la fin, a nous repérer dans la foret. A plusieurs endroit, nous remarquions des arbres brisés, abîmés, voire même déraciné pour les plus petits. - il y a eu une tempête récemment ? - non, c'est l'ogre, répondit le doyen. - pourquoi fait-il ça, cet abruti… - eh bien, comme je vous ai dit, il se déplace grâce a son puissant odorat, même si des fois, il y a quelques ratés. Seulement, l'été, il semblerait que… euh… - allez y, je crois que depuis hier j'ai tout entendu. - et bien… apparemment il est allergique. Le rhume des foins, vous voyez. Alors son odorat perd de son efficacité… et il se cogne contre les arbres. - très bien, je rectifie : je CROYAIS avoir tout entendu.
Nous suivîmes quand même la piste pendant plusieurs heures, elle s'éloignant du village pour monter dans les collines. Finalement, nous arrivâmes à une tour branlante, a moitié détruite, qui se dressait encore tant bien que mal au milieu d'une petite clairière. Visiblement, c'était tout ce qui restait d'une structure plus importante, en témoignant les amas de pierre et le reste de toiture jouxtant la tour. Il y avait une sorte de mare à sa base, une eau stagnante et verdâtre, véritable nid de moustique. Il n'y avait aucune porte. Même à grande distance, on pouvait déjà sentir l'odeur nauseabonde de la créature. Pas de doute, nous avions déniché la tanière de l'ogre. Il n'avait rien trouvé de mieux que de se réfugier dans une tour.
Nous nous arrêtâmes a une distance raisonnable pour mettre pied a terre. - vous pensez qu'il nous a vu arriver ? Me demanda le doyen. Il mit quand même quelques secondes avant de réaliser. - enfin, vous voyez ce que je veux dire. Je m'abstins de répondre. Je préférai observer la tour. Elle était carrée, pas très haute mais plutôt large. Elle semblait sur le point de s'effondrer. J'étais en train de me demander comment il pouvait réussir à monter et descendre l'escalier de cet édifice sans la faire tomber, quand un grognement bestial résonna en provenance du sommet de la tour. Il était là. Les montures devenant nerveuses, nous les laissames en retrait, attachées a un arbre, et nous avançâmes a pas feutrés jusqu'à la tour. Quand nous furent juste à coté de l'entrée, nous entendîmes des bruits étranges, comme des coups sourds contre de la pierre. D'ailleurs la tour tremblait légèrement à chaque impact. J'adressai un regard interrogateur au doyen, resté a distance respectable, qui se contenta d'hausser les épaules. Prit d'une soudaine lassitude, je décidai d'entrer de suite sans attendre, j'étais très pressé d'en finir. L'intérieur de la tour était plutôt sombre. La petite antichambre au rez-de-chaussée était vide, par contre l'odeur était beaucoup plus forte qu'a l'extérieur, à la limite du supportable. J'en avais presque les larmes aux yeux (et c'aurait été la première fois de ma vie…). Les soldats me suivirent a l'intérieur, mais nous fumes vite a l'étroit, si bien que je fis signe a seulement trois d'entre eux de me suivre. Vu l'état de délabrement de la tour, il fallait éviter de lui donner des raisons de céder sous nos pieds. D'ailleurs, j'hésitai en fait à ressortir et attendre patiemment que l'ogre sorte de sa tanière pour l'attaquer a l'extérieur. Le problème, c'était que ma patience était déjà arrivé son ultime extrémité, et n'en avait plus pour me lancer dans une longue attente dans cette forêt moisie. Nous montâmes donc les marches inégales et déjà bien usées jusqu'au sommet de la tour. Il y avait visiblement quatre étages, chaque palier donnant sur une porte. Le dernier étage amenait à un très court corridor. Nous étions juste en dessous du toit, la charpente croulait sous le poids du temps et des intempéries. Les coups sourds et brutaux se faisaient de plus en plus forts et proches. En réalité, cela venait juste de derrière la porte en bois quelque peu fracassé qui terminait le corridor. Je m'approchai, et colla mon oreille contre le panneau de bois. Hormis les martèlements, j'entendis des grognements, des râles mais aussi une voix forte et chevrotante qui criait : - Maudit ! Que trépasse ! C'était forcement la voix gutturale d'un ogre, même si les termes étaient plutôt déplacés dans la bouche d'une telle créature. Peut-être répétait-elle ce qu'elle avait entendu de la part d'intrépides héros qui s'était attaqué a elle… Je décidai d'ouvrir la porte. Elle s'ouvrit avec un sale craquement, et me dévoila une scène qui, je dois bien l'avouer, me laissa sans voix. L'ogre était assez imposant. Plus de deux mètres et demi de haut, très larges d'épaules, vêtues de peau de bête sommairement cousue, voire même de manière chaotique, une manche plus courte que l'autre, le pourpoint plus long d'un coté, et la fourrure miteuse qui recouvrait maladroitement son bassin et ses cuisses laissaient entrevoir ce qui logiquement aurait du rester cacher. A coup sur, c'était lui-même qui se l'était façonné. Son visage était bestial, un faciès brutal au front large et bas, au nez imposant et tordu, aux lèvres épaisses d’où jaillissait des défenses jaunies. Et juste au dessus du nez, il y avait bel et bien un œil… recouvert d'un bandeau sale. Mais ce n'était pas le pire. Je découvris alors la source des martèlements : l'ogre ne cesser de foncer, tête la première, vers le mur devant lui. Il avançait, courait presque, se cognait, grognait, lancer une de ses formules ampoulées apprises dieu sait où, et recommençait. Néanmoins, quand il entendit le grincement de la porte quand je l'ouvris, il s'arrêta aussitôt, fit volte face et s'immobilisa. - Mortel ! Hurla-t-il, l'écume aux lèvres. Et il chargea avec un hurlement de rage féroce. Il traversa la pièce, bien décidé à m'attaquer avec toute sa puissance sauvage. Et moi, devant ce spectacle inouï, inconcevable, je restai sans bouger, sans même tirer mon épée. Mais cela n'était pas nécessaire, en fait. Car bien qu'ayant entendu le craquement si peu discret de la porte, son ouie n'était apparemment pas aussi fine que son odorat, car il se tourna dans la mauvaise direction. Et au lieu de foncer droit sur moi, c'est en direction du mur opposé qu'il s'élança… la où, justement, il n'y avait plus de mur, mais un trou béant, donnant directement sur le vide. Avant même que je puisse dire quoi que ce soit ou esquisser le moindre geste, l'ogre passa devant moi et se précipita, tête baissée, dans l'ouverture. J'aurais donné cher pour savoir ce que cet abruti a pensé lorsqu'il n'a sentit sous ses pieds rien d'autre que le vide. Ou pour être le doyen ou l'un de mes soldats resté en bas, assistant soudainement au spectacle peu banal d'un ogre gesticulant et vociférant, surgissant du sommet de la tour pour tomber avec un crie étrange, qu'on pouvait retranscrire par "beuuuh ?!" En ce qui me concerne, j'étais toujours sur le seuil de la porte, et quelque instants après avoir vu disparaître l'ogre de mon champ de vision, retentit le bruit caractéristique de la chute d'un corps lourd dans un liquide. Sortit de ma stupeur et de mon effarement, je m'avançai avec précaution – ce n'était pas le moment de se tuer en passant stupidement a travers le plancher – et m'approcha du trou dans le mur pour me pencher et regarder en contrebas. En fait, le trou surplombait la mare putride à la base de la tour, qui était suffisamment profonde pour y accueillir l'ogre. D'ailleurs, ce dernier y était immergé complètement, on le voyait remuer frénétiquement, éclaboussant l'eau tout autour de lui, et des plaintes étouffées parvenaient jusqu'à moi. Les soldats et le doyen en bas s'approchèrent avec prudence – à moins que ce soit de l'effarement – et regardèrent l'ogre se débattre, alors que ses gesticulations se faisaient de plus en plus molle. Le doyen cria alors à mon adresse : - mais… qu'est-ce qu'il fait ? - à dire vrai… je crois qu'il se noie, là. Effectivement, après quelques secondes, le colosse ne fut secoué que par quelques soubresauts, puis s'immobilisa, sans vie. Ainsi mourut l'ogre cyclopéen borgne, et la seule pensée que j'eus a cette instant, ce fut de me demander pourquoi il ne s'était pas tué plus tôt, ce qui m'aurait éviter de me déplacer jusqu'ici.
Bien que pressé de rentrer chez moi, et d'oublier très vite cette ridicule histoire – et ce temoignage prouve mon échec a l'extraire de ma mémoire – je fis un léger détour par la demeure du prévôt de val-en-roche. On dit qu'après mon départ, il mit pas moins de deux semaines avant de réussir à s'asseoir correctement." FIN | |
| | | Edwyn
Nombre de messages : 16 Age : 43 Date d'inscription : 12/06/2008
| Sujet: Re: l'aventure du cyclope borgne Dim 28 Déc - 6:55 | |
| Je dirai qu'une seule chose MORTEL; je me suis bien marré en lisant cette aventure pour le moins particulière . En espérant en lire d'autres... | |
| | | Raph
Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 28/07/2007
| Sujet: Re: l'aventure du cyclope borgne Dim 28 Déc - 7:02 | |
| t'en fais pas ca viendra | |
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| Sujet: Re: l'aventure du cyclope borgne | |
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| | | | l'aventure du cyclope borgne | |
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